Intelligence Artificielle

Industrie 4.0 : Comment les machines intelligentes transformeront tout ce que nous connaissons

par Vincent R. | 26/08/2019 | Industrie 4.0, Intelligence Artificielle, Vidéos

M. Lorenz dirige le secteur mondial des machines et de l’automatisation industrielle du BCG et est responsable des principaux programmes de transformation numérique chez les acteurs du secteur des machines et de l’automatisation.

La quatrième révolution industrielle est à nos portes : des machines pleines d’intelligence. Cette transformation transformera la façon dont la fabrication fonctionne aujourd’hui, la rendant 30% plus rapide et 25% moins chère car une machine saura quand elle fait une erreur et se corrigera d’elle-même. Markus Lorenz estime que la prochaine génération d’industrialisation pourrait permettre à l’industrie alimentaire d’économiser à elle seule 50 milliards de dollars par an. Markus Lorenz explore les nombreuses répercussions de cette révolution manufacturière sur l’économie et les nouveaux emplois que cette révolution va créer.

Vidéo © TED Institute – Publiée le 04/09/2015

iLogistics, le robot qui va révolutionner la préparation de commandes

par Vincent R. | 27/06/2019 | Automatisation, Industrie 4.0, Intelligence Artificielle, Robotisation

iFollow, révèle son dernier né, iLogistics, le 1er robot autonome et collaboratif s’appuyant sur l’IA et le Deep Learning, conçu et taillé pour augmenter drastiquement les volumes de préparation de commande en entrepôts et améliorer durablement les conditions de travail des préparateurs de commandes.

Une augmentation de la productivité et une amélioration des conditions de travail

L’enjeu de concilier des impératifs difficilement conciliables était de taille : comment aider des entrepôts à gagner en productivité sur la préparation de commande, sans perdre en agilité face aux évolutions du marché, tout en réduisant les conditions de pénibilité des préparateurs ? La réponse devait passer par la mise à disposition d’une solution robotique prête à l’emploi, “intelligente”, adaptable à tout environnement d’exploitation et configuration d’entrepôt et calibrée pour optimiser les flux existants. Et ainsi prendre le contrepied de certains standards actuels, au rendement incertain, qui se rapprochent davantage d’un système global et lourd (nécessitant de repenser intégralement la configuration d’un entrepôt).

Une approche évolutive et modulaire

Pour relever ces challenges humains, techniques et opérationnels, Nicolas Menigoz et Vincent Jacquemart, fondateurs de iFollow, ont constitué une équipe aux talents uniques issus d’écoles de 1er rang en firmware, programmation, radar, conception mécanique et électronique embarquée, afin de mettre au point iLogisitics, un robot autonome et collaboratif, boosté à l’intelligence artificielle. iLogistics aux attributs techniques inégalés voyait ainsi le jour : capacité à transporter jusqu’à 300 kg de marchandises, à s’adapter à tout support existant (rolls, palettes, chariots), à fonctionner 16h en autonomie (base de recharge intelligente) et ne nécessitant aucune installation d’infrastructure fixe.

Cette approche évolutive et modulaire permet ainsi de répondre aux enjeux de marchés qui requièrent une réactivité toujours plus importante des entrepôts : saisonnalité et pics de ventes, caractère onéreux ou périssables des produits transportés et respect de la promesse d’une enseigne à livrer ses clients dans un délai toujours plus court. Justement, pour faire face à une hausse de ses commandes et de congestion des flux, le client n’a qu’à ajouter simplement de nouveaux iLogistics sans avoir à investir dans un projet d’extension coûteux.

Une solution pensée pour s’adapter à l’environnement d’exploitation existant

Plus concrètement, iLogistics par son interaction avec le préparateur de commande peut soit le guider ou avancer de manière concertée avec ce dernier sur la préparation de plusieurs commandes, soit faire le lien de manière autonome entre différentes zones (principe de “Goods-to-Man”) sur l’acheminement d’une seule et même commande selon une trajectoire optimale de picking. Aussi, une flotte d’iLogistics peut se mouvoir en toute autonomie, dans un environnement dynamique, et optimiser le déplacement de chaque robot, afin que le préparateur de commandes ait toujours un robot à servir à proximité. En captant en continu les spécificités de l’entrepôt (volumétrie et flux), les iLogistics sont à même de pouvoir se localiser, naviguer et se déplacer de manière autonome dans l’entrepôt. Aussi, la solution a été pensée pour s’intégrer et compléter l’environnement d’outils du client (type WMS et WCS ) permettent au robot de hiérarchiser intelligemment les prochaines 3 opérations de roulage ou de préparation de commande à réaliser.

De ces différents cas de picking, résulte une meilleure fiabilité des opérations, et une qualité accrue de préparation et pré-conditionnement des commandes. En terme de performances opérationnelles, cela se traduit par un accroissement observé de 28 à 42,5% des volumes de préparations de commandes réalisées par heure et par picker. Ainsi, par l’instantanéité du déploiement d’une flotte (opérationnelle et paramétrable en 4h), tout directeur logistique ou d’automatisation bénéficie d’un retour sur investissement prédictible et inférieur à 18 mois, à contrepied des systèmes alternatifs (investissements lourds, peu modulables et rapidement obsolètes).

Une solution éprouvée

Ainsi la capacité d’iLogistics à opérer nativement en conditions extrêmes et exigeant (-25°C à +40°C) et les gains de productivité observés ont rapidement convaincu l’un des leaders de la livraison de produits alimentaires surgelés, de tester et déployer les robots iFollow.

Vers une vision toujours plus affirmée de l’entrepôt 4.0

Autant de perspectives qui permettent à iFollow d’intensifier et démocratiser son approche de la “préparation de commande repensée”. Ces enjeux iront de pair avec un renforcement de l’équipe (aujourd’hui de 15 personnes) où les opportunités sont nombreuses pour rejoindre le prochain fleuron de la robotique propulsée au Deep Learning et ainsi suivre le sillon tracé par d’’Exotec Solutions dont leurs clients communs ont souligné la complémentarité de leurs approches.

Pour en savoir plus sur ce robot autonome et collaboratif, je vous invite à vous rendre sur le site officiel https://www.ifollow.fr/

Comment mettre en place une démarche Industrie 4.0

par Vincent R. | 05/06/2019 | Agenda, Industrie 4.0, Intelligence Artificielle

Mews Partners, en partenariat avec les Arts et Métiers ParisTech et Cad Magazine/Manufacturing.fr, vous propose d’assister le vendredi 28 juin 2019 à une conférence intitulée « L’IA et l’industrie 4.0 au service de l’usine ». Durant cette après-midi vous aurez la possibilité d’échanger sur la mise en place d’une démarche industrie 4.0 au sein de l’usine : freins, conditions de réussite et facteurs clés de succès.

L’industrie bénéfice aujourd’hui de technologies matures, en matière d’intelligence artificielle, de data science et d’lIOT. Pourtant leur déploiement opérationnel est difficile et lent. Comment réussir à sortir de l’expérimentation et aller vers une mise en place à grande échelle industrielle ? Les technologies évoluent vite, contraignant les entreprises à réagir différemment. Le changement doit se faire au travers d’une transformation de l’entreprise à la fois sur les facteurs humains et organisationnels.

Durant cette conférence différentes personnalités et sociétés viendront témoigner : Arts et Métiers ParisTech, Schneider Electric, les start-ups XXII et Ingedata et Alexandre Lacroix, directeur de la rédaction de Philosophie Magazine.

Au programme

14h00 : Allocution de bienvenue par Ivan Iordanoff, DGA Innovation des Arts et Métiers ParisTech et François-Xavier Hermelin, rédacteur en chef de www.manufacturing.fr
14h10 : « Spécificités IA pour l’ingénierie des systèmes physiques », par Ivan Iordanoff, DGA Innovation des Arts et Métiers ParisTech
14h40 : « Les enjeux de l’IA et de l’industrie 4.0 », par Xavier Brucker, Partner IA & Data Science de Mews Partners
15h10 : « Retour d’expérience du déploiement industrie 4.0 chez Schneider Electric », par Thierry Hanau, Enterprise Architect & Smart Factory Director de Schneider Electric
15h40 : « De la préparation de données au déploiement de modèles, comment livrer un projet IA dans l’industrie ? » par Thibault Pindat, Chief Business Officer chez XXII et Jean Wattier, Data Solutions Director chez Ingedata
16h10 : « Comment intelligence artificielle et intelligence humaine peuvent-elles coopérer dans l’usine ? » par Alexandre Lacroix, philosophe et directeur de la rédaction de Philosophie Magazine
16h40 : Table ronde / Questions
17h00 : Cocktail

L’événement aura lieu le vendredi 28 juin 2019 de 14h00 à 17h00 aux Arts et Métiers ParisTech (École nationale supérieure d’Arts et Métiers, 155 Boulevard de l’Hôpital, 75013 Paris)
Pour participer, vous devez obligatoirement vous inscrire (Inscription gratuite) à cette adresse.
Note : La conférence est réservée de préférence aux acteurs métiers du manufacturing.

Le 1er cobot mobile autonome tirant parti de l’intelligence artificielle

par Vincent R. | 10/04/2019 | Industrie 4.0, Intelligence Artificielle, Robotisation

ODENSE (Danemark) et HOLBROOK (New York, États-Unis), le 9 avril 2019 – Mobile Industrial Robots, leader du marché des robots mobiles autonomes, débute aujourd’hui la commercialisation du MiR1000, son modèle doté des capacités de charge les plus importantes à ce jour. Le MiR1000 peut automatiquementsaisir des palettes et autres charges lourdes de 1 000 kg, les transporter et les livrer dans les environnements dynamiques. Tout comme le MiR500 commercialisé depuis 2018, le MiR1000 offre aux usines et aux entrepôts une alternative collaborative, sûre et flexible aux chariots élévateurs, qui sont des équipements coûteux et potentiellement dangereux. MiR a également dévoilé une innovation unique pour le secteur : des fonctionnalités tirant parti de l’intelligence artificielle (IA) qui permettent d’optimiser le système de navigation de tous ses robots mobiles autonomes.

Le MiR1000 rejoint la gamme du fabricant de robots mobiles autonomes conviviaux, performants et robustes dédiés au transport de charges modérées et lourdes, qui optimisent la logistique de l’ensemble de la chaîne de production, de l’entrepôt à la livraison des marchandises. Des MiR100, MiR200 et MiR500 sont déjà déployés dans plus de 45 pays par des entreprises comme Airbus, Flex, Honeywell, Toyota, Visteon et Hitachi. Pour Thomas Visti, PDG de l’entreprise, le MiR1000 a été conçu pour répondre à l’importante demande de la clientèle, déjà séduite par les modèles de capacité inférieure et souhaitant transporter des composants lourds, couramment utilisés dans des industries comme l’aéronautique et l’automobile.

MiR lance MiR1000 et intègre des fonctionnalités d'IA

« Avec le MiR1000, nous étendons une nouvelle fois les possibilités d’automatisation intralogistique, surtout pour ceux qui souhaitent transporter des matériaux très volumineux sans devoir remodeler leur infrastructure », a-t-il déclaré. « Aujourd’hui, les industriels doivent gérer l’évolution constante de la demande. Dans cette optique, ils ont besoin de sites de production souples et facilement adaptables. Les solutions logistiques traditionnelles comme les chariots élévateurs, les convoyeurs à bande et même les véhicules à guidage automatique (automated guided vehicles, AGV) classiques ne sont plus adaptées à ce type de production.

D’une extrême flexibilité, nos robots autonomes éliminent le besoin de modifier l’infrastructure et ne nécessitent aucune compétence de programmation poussée. Ils contribuent ainsi grandement à l’optimisation du transport de tous types de matériaux », a-t-il ajouté. « Le MiR1000 ne déroge pas à la règle. Il procurera à nos clients et prospects la même efficacité que celle de nos autres modèles, avec une capacité de charge bien supérieure ».

Intelligence artificielle intégrée, une première mondiale

Grâce aux fonctionnalités d’IA intégrées au logiciel et à des caméras stratégiquement positionnées pour constituer un jeu étendu de capteurs, MiR confère à ses robots des capacités d’optimisation des itinéraires et des réactions en déplacement. Appelées MiREyesight, les caméras permettent aux robots de détecter et de distinguer différents obstacles mouvants et d’adapter leur comportement en conséquence. Ils poursuivront ainsi leur déplacement s’ils détectent une personne mais stationneront sur le côté pour laisser passer un AGV. Ils pourront également anticiper les zones bouchées ou à forte circulation et modifier leur itinéraire avant même d’y pénétrer.

Industrie 4.0 : Réelle opportunité ou menace ?

par Vincent R. | 06/11/2018 | Emploi, Industrie 4.0, Intelligence Artificielle

Article original disponible sur businesslive.co.za

Nous sommes à un point de l’évolution de la science et c’est pourquoi les entreprises doivent continuer à jouer un rôle de premier plan dans la formation des jeunes pour qu’ils puissent faire face aux changements de leur économie. C’est aussi pour cela que les partenariats public-privé sont essentiels.

Lors de son discours à la conférence mondiale de l’Union internationale des télécommunications tenue à Durban en septembre, le Président Cyril Ramaphosa a déclaré : « Les décisions que nous prenons maintenant, en tant que pays individuels et en tant que collectivité mondiale, détermineront si la Quatrième Révolution industrielle est l’opportunité que tant de gens anticipent ou la menace que tant de gens craignent.

La quatrième révolution industrielle a suscité autant d’enthousiasme que de peur. Les progrès de l’intelligence artificielle (IA) et de l’apprentissage automatique et leurs effets sur les services autonomes ont soulevé d’importantes questions sur l’avenir des emplois dans l’économie mondiale.

Lorsque l’électricité a été inventée, il a fallu plus d’un demi-siècle pour que 65% des ménages américains reçoivent l’électricité. Un siècle plus tard, il a fallu dix ans pour que les téléphones cellulaires prolifèrent dans le monde entier. Il a fallu cinq ans aux smartphones. La vitesse d’adoption de la technologie n’a cessé d’augmenter, et elle est appelée à se poursuivre.

Les recherches d’Oracle ont estimé que d’ici 2020, il y aura 10 millions de voitures auto-propulsées dans le monde. De plus, nous prévoyons que 90 % de toutes les applications professionnelles seront dotées d’une composante IA intégrée. De plus, la même année, 50% de toutes les données de l’entreprise devraient fonctionner de manière autonome.

Les preuves anecdotiques sont partout autour de nous. La réalité virtuelle, les maisons intelligentes, les achats par capteurs et bien plus encore sont largement utilisés dans le monde entier. Les entreprises analysent en permanence notre comportement, en raison de l’énorme quantité de données dont elles disposent, afin d’adapter leurs services pour obtenir un avantage concurrentiel.

Les recherches d’Oracle ont estimé que d’ici 2020, il y aura 10 millions de voitures autonomes à travers le monde. De plus, nous prévoyons que 90 % de toutes les applications professionnelles seront dotées d’une composante IA intégrée.

L’un des physiciens théoriques les plus célèbres et les plus prolifiques, Stephen Hawking, dans une interview à la BBC en 2014, a déclaré : « Le développement de l’intelligence artificielle complète pourrait signifier la fin de la race humaine…. Elle se développerait d’elle-même et se remodèlerait à un rythme toujours croissant. Les humains, qui sont limités par une lente évolution biologique, ne pourraient pas rivaliser et seraient remplacés. »

Tout le monde ne partage pas le point de vue de Hawking ou des cinéastes apocalyptiques qui ont popularisé Skynet dans les films Terminator. Mark Hurd, PDG d’Oracle, indique que plutôt que de représenter une menace pour la civilisation, les développements de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage en machine profonde marquent un changement dans l’économie mondiale et offrent beaucoup d’enthousiasme et de possibilités.

« Le monde a eu tendance à s’améliorer matériellement avec l’automatisation des processus… » Hurd a été largement cité comme disant. « Chez Oracle, nous sommes très optimistes en ce qui concerne l’IA. Pouvez-vous imaginer ce que l’IA peut faire pour la gestion de la chaîne d’approvisionnement et des stocks… ou pour la médecine ? Il y a tellement de progrès, tellement de choses excitantes qui amélioreront la vie des gens. »

De plus, ceux qui sont d’accord avec Oracle et croient en l’immense potentiel et les possibilités de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage machine sont tous d’accord pour dire que les machines ne remplaceront jamais ces caractéristiques qui nous rendent uniquement humains, telles que la créativité, l’imagination et la compassion, parmi d’autres.

Qu’est-ce que cela signifie pour l’emploi ? Les emplois d’un ordre ancien peuvent être menacés à mesure qu’un éventail d’emplois et de carrières d’un ordre nouveau voient le jour. Il y a d’innombrables offres d’emploi dans le domaine des sciences des données qui sont publiées dans le monde entier. Il y a quelques années, de nombreuses entreprises ne savaient même pas ce qu’était un spécialiste des données.

Des services et des fonctions autonomes donneront aux machines 80 % de ce que les techniciens font actuellement avec leur journée de travail. Et les machines le feront plus rapidement et avec moins d’erreurs. Cela permet aux humains de passer plus de temps à se concentrer sur ce qu’ils savent mieux faire, là où ils n’avaient passé que 20 % de leur temps auparavant. Elle permet aussi aux humains de se connecter, de se rencontrer face à face et d’établir des relations.

Un de nos clients l’a bien dit. En plus d’améliorer la productivité logistique de leur entreprise de services de santé d’une façon inimaginable auparavant, le plus grand avantage de l’automatisation pour l’entreprise, selon le DPI, est qu’elle a été en mesure de se recentrer sur les valeurs de l’entreprise. L’intelligence artificielle n’est pas destinée à remplacer l’intelligence humaine, il s’agit de l’augmenter. Cela permet aux gens d’entrer en contact avec d’autres personnes, d’interpréter les nuances, de vendre et de convaincre.

Le secteur privé a été à l’avant-garde de la promotion des compétences. De nombreuses organisations proposent des programmes qui permettent aux stagiaires d’entrer sur le lieu de travail et les exposent à l’évolution rapide du lieu de travail et aux compétences vitales qui sont essentielles pour l’avenir.

En juin 2018, 22 étudiants sud-africains auparavant défavorisés ont commencé leur carrière dans l’industrie des TIC à la suite de l’achèvement de la quatrième édition du Graduate Leadership Programme d’Oracle qui vise à doter les étudiants de compétences spécialisées en informatique et en leadership. Jusqu’à présent, 84 étudiants ont achevé avec succès le programme depuis son lancement en 2014 ; 21 étudiants auparavant défavorisés se sont inscrits au programme de 2018.

Nous sommes à un point de l’évolution de la science et c’est pourquoi les entreprises doivent continuer à jouer un rôle de premier plan dans l’équipement des jeunes pour faire face aux changements économiques. C’est aussi pourquoi les partenariats public-privé sont essentiels.

Au niveau national, les comités de direction devraient réunir des experts d’universités et d’entreprises technologiques pour partager leurs idées sur la meilleure façon de préparer la population à la nouvelle économie et au vaste éventail de nouvelles compétences, ou peut-être même des ensembles de compétences hybrides où les compétences techniques et les compétences dites générales ou humaines sont fusionnées en un seul parcours professionnel.

Ramaphosa avait raison lorsqu’il a dit que les décisions que nous prenons aujourd’hui détermineront si L’Industrie 4.0 est une opportunité ou une menace. Nous devons agir aujourd’hui pour préparer nos enfants à des carrières que nous n’avons pas encore imaginées afin qu’ils soient assez agiles pour saisir les opportunités qui se présentent à eux.

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