Un robot collaboratif Universal Robots UR10 équipé d’une caméra de vision permet au sous-traitant de l’Ohio d’atteindre 100% de qualité dans le sous-ensemble des moteurs automobiles.
Vidéo © Universal Robots – Publiée le 06/12/2018
Un robot collaboratif Universal Robots UR10 équipé d’une caméra de vision permet au sous-traitant de l’Ohio d’atteindre 100% de qualité dans le sous-ensemble des moteurs automobiles.
Vidéo © Universal Robots – Publiée le 06/12/2018
Je vous propose aujourd’hui de partir en Inde. Plus précisément à Pune, au sein de la société Shruti Engineers. L’entreprise de 10 personnes fabrique des composants d’assemblage pour les lignes automobiles. Avant l’installation d’un cobot, leur production était limitée. Universal robots indique qu’ils ont augmenter leur production journalière de 75% grâce à l’acquisition d’un cobot UR10. Je vous laisse découvrir le résultat en vidéo.
Vidéo © Universal Robots – Publiée le 27/09/2018
Le 4 octobre 2018 au Groupama Stadium, SCHUNK, SICK et Universal Robots vous invitent à découvrir les principaux enjeux de l’industrie 4.0 et les solutions d’automatisation collaboratives, qui permettent aux entreprises d’optimiser leurs processus de fabrication et de booster leur compétitivité. Cette matinée d’étude abordera les principaux défis de l’industrie 4.0, et présentera des solutions pratiques de robotique collaborative permettant aux entreprises d’automatiser leurs processus de fabrication pour une meilleure compétitivité. Pour que l’automatisation industrielle soit simple, flexible, abordable et enfin accessible à tous. Lors de cet évènement, les participants pourront profiter de démonstrations d’applications industrielles, échanger avec des intégrateurs et des distributeurs sur les possibilités qu’offre l’industrie 4.0 pour leur usine. Ou encore aller à la rencontre d’entreprises déjà utilisatrices de ce type de solutions afin de comprendre, en quoi il a été bénéfique et pertinent pour elles de se tourner vers l’usine intelligente. […]
Article © zoneindustrie.com – Publié le 26/09/2018
Photo © zoneindustrie.com
VISOR® Robotic est un capteur de vision pour les applications robotiques. Il se compose d’une caméra, d’une unité d’éclairage et d’une unité de traitement dans un boîtier compact et robuste.
Vidéo © Universal Robots – Publiée le 25/07/2018
Nichrominox, fabricant d’équipements dentaires basé à Lyon (France), fait partie des milliers de petits fabricants de dispositifs médicaux qui font face au quotidien à une concurrence internationale accrue. Beaucoup de ces PME espèrent que l’automatisation pourra les aider à augmenter leur productivité, améliorer la qualité de leurs produits et orienter les employés sur les processus de haute valeur plutôt que sur le travail manuel répétitif. Mais l’automatisation industrielle traditionnelle, telle que la robotique, s’avère souvent hors de portée des ces petites entreprises pour de nombreuses raisons.
Ce type d’équipements est généralement coûteux et complexe. Il nécessite des cellules de travail fixes et autonomes qui sont séparées des travailleurs par des barrières de sécurité qui coûtent plus chères que le robot lui-même et nécessitent souvent, la reconfiguration de l’environnement de travail.
Mais un nouveau type de robots – appelés « robots collaboratifs » (ou « cobots ») en raison de leur capacité à travailler aux côtés des employés – peuvent combler le fossé entre l’assemblage entièrement manuel et les lignes de fabrication entièrement automatisées. Un atout extrêmement précieux pour ces PME, et financièrement plus accessible.
Nichrominox est un exemple typique. Depuis quarante ans, l’entreprise fabrique des accessoires pour les cabinets dentaires : boîtes de stérilisation, plateaux pour plusieurs types de fraises (utilisées pour couper les dents ou les os), instruments endodontiques, rétracteurs… Avec 37 employés sur ses installations de 3.500 mètres carrés, Nichrominox exporte 75% de ses produits et figure parmi les derniers fabricants français dans l’industrie dentaire.
Pour faire face à la concurrence des pays à faible coût de main-d’œuvre, le directeur général, Éric Lefrancq-Lumiere, fils du fondateur de l’entreprise, a voulu automatiser les processus répétitifs pour améliorer la productivité de son entreprise. Si au départ il s’est aussi dirigé vers les robots industriels, il a rapidement constaté qu’il ne disposait ni des ressources financières, ni des ressources humaines nécessaires pour mener à bien un tel projet.
Une flexibilité très pertinente pour des petites entreprises qui, peuvent également les reprogrammer avec aisance et ce, sans avoir recourir à un spécialiste externe. Ils sont livrés avec une interface utilisateur tactile de la taille d’une tablette, où l’utilisateur peut facilement guider le bras du robot en indiquant les mouvements sur l’écran. Les robots collaboratifs peuvent également être « éduqués » en déplaçant simplement le bras du robot sur la trajectoire désirée et en utilisant l’interface à écran tactile pour établir le programme. Il est d’ailleurs possible d’en enregistrer plusieurs, offrant ainsi la possibilité à l’opérateur de passer seul, facilement et rapidement, d’une tâche à une autre.
Cette facilité d’utilisation est la caractéristique la plus importante des cobots. Ils peuvent se monter, s’installer, se programmer et se mettre au travail en moins d’une heure.
Si certains employés craignaient que les robots ne les remplacent, ils ont vite compris l’intérêt de ce type d’automatisation. « Avant l’arrivée du robot, j’avais une certaine appréhension, je pensais qu’il allait me remplacer, mais pas du tout », explique l’opérateur Lucas Lafrate. « Depuis qu’il est là, c’est moi qui prends soin de lui en fait, il me fait gagner beaucoup en productivité, je sais exactement où j’en suis au niveau de mon décompte et du nombre de pièces que j’ai à marquer ou non. Avant, j’étais constamment devant la machine, maintenant je peux la laisser travailler toute seule sans problème. »
Éric Lefrancq-Lumiere affirme que les robots ont immédiatement augmenté la productivité de 10%, avec un flux de production plus cohérent et une qualité de production plus élevée. Et ce, en améliorant les conditions de travail des employés, avec une diminution des blessures causées par des tâches manuelles répétitives et la capacité des travailleurs à entreprendre à présent des activités à meilleure valeur ajoutée.
Avec un retour sur investissement moyen de seulement 14 mois, Éric Lefrancq-Lumiere a l’intention de continuer à automatiser les processus de Nichrominox et transformer ses lignes de production grâce à l’ajout de robots collaboratifs supplémentaires, prouvant que même une petite entreprise familiale peut bénéficier de l’automatisation.