Industrie 4.0

Secure Edge Box de Phoenix Contact : une solution tout-en-un pour la cybersécurité industrielle

Secure Edge Box de Phoenix Contact : une solution tout-en-un pour la cybersécurité industrielle

Dans un contexte où les cyberattaques visant les infrastructures industrielles se multiplient, la protection des systèmes OT (technologies opérationnelles) devient aussi essentielle que celle des systèmes IT. Face à ces menaces, Phoenix Contact propose la Secure Edge Box, une solution complète conçue pour sécuriser le réseau des usines, protéger les machines connectées et permettre une maintenance à distance en toute sécurité.

Pourquoi la cybersécurité est cruciale pour les usines connectées ?

Les industriels doivent répondre aux normes et réglementations en matière de cybersécurité tout en faisant face à une concurrence accrue. Les équipements connectés, les IIoT (Internet Industriel des Objets) et les données sensibles sont des cibles privilégiées pour les cybercriminels. Protéger ces éléments est indispensable pour garantir la continuité des opérations et la sécurité des informations.

Artec Studio 17

Secure Edge Box : Une cybersécurité renforcée pour une industrie 4.0

La Secure Edge Box de Phoenix Contact intègre plusieurs fonctionnalités avancées de sécurité :

  • Pare-feu avancé : avec un filtrage par adresses MAC, IP et ports, elle bloque les communications non autorisées, protégeant ainsi l’ensemble des équipements connectés (capteurs, automates, IHM, etc.).
  • Maintenance à distance sécurisée : grâce au routeur de sécurité mGuard et à la fonction VPN, il est possible d’effectuer des interventions à distance en toute sécurité. Un bouton physique permet d’activer ou désactiver les tunnels VPN pour un contrôle accru des accès.
  • Création de DMZ (zone démilitarisée) : la DMZ permet de sécuriser les échanges avec l’extérieur, en autorisant uniquement les communications sortantes depuis les équipements industriels, tout en renforçant la protection des données internes.

Avantages clés de la Secure Edge Box

  • Installation simplifiée : solution prête à l’emploi et facile à installer, même sur des infrastructures OT existantes.
  • Robustesse et durabilité : conçue pour les environnements industriels, avec un boîtier IP54 et une structure en acier.
  • Indicateurs visuels de sécurité : un feu de signalisation s’allume lorsque le tunnel VPN est actif, offrant une visibilité instantanée du statut de sécurité.

Pour plus d’informations sur la Secure Edge Box de Phoenix Contact, consultez leur site officiel.

Mitsubishi Electric : L’IA au service de l’Optimisation Industrielle avec MELSOFT MaiLab

Mitsubishi Electric : L’IA au service de l’Optimisation Industrielle avec MELSOFT MaiLab

Introduction à l’IA dans l’Industrie

L’intelligence artificielle (IA) transforme rapidement les environnements industriels, offrant des opportunités inédites aux fabricants. Au-delà de l’amélioration de la productivité et des performances, l’IA enrichit les connaissances des experts et facilite le transfert de savoir-faire au sein des organisations. Ces avantages, souvent sous-estimés, sont cruciaux pour la compétitivité, souligne Christian Nomine, chef de produit stratégique chez Mitsubishi Electric EMEA, dans le podcast « Où en est l’IA ? ».

L’Impact des outils IA dans l’Industrie

Les outils d’IA, comme les chatbots (dont ChatGPT), sont au cœur de l’actualité pour leur impact potentiel. Cependant, des solutions industrielles existent déjà, utilisant l’apprentissage automatique pour optimiser les processus de fabrication, améliorer la qualité des produits et augmenter la productivité. Ces solutions offrent des interfaces intuitives qui facilitent l’adoption des technologies intelligentes.

Les défis des fabricants

Face à une concurrence croissante, les fabricants doivent continuellement améliorer leur efficacité, leur production et leur rentabilité. Bien que cela soit réalisable avec les nouvelles technologies, initier une démarche en science des données et IA peut être complexe. Mitsubishi Electric répond à ce défi avec MELSOFT MaiLab, un outil de science des données IA conçu pour rendre les machines, lignes et usines plus intelligentes.

MELSOFT MaiLab : Un outil pour tous

Adapté aux débutants comme aux experts en IA, MELSOFT MaiLab combine l’expertise humaine avec des données empiriques pour optimiser les processus et opérations. Il aide les spécialistes à affiner leurs compétences et facilite la montée en compétence des nouvelles recrues, tout en offrant une plateforme de connaissances objective. L’IA, loin de remplacer l’humain, le renforce en permettant des décisions plus précises et rapides.

Conclusion : L’IA, un atout essentiel

L’IA est devenue indispensable pour améliorer la productivité et favoriser la transmission des compétences. Des outils comme MELSOFT MaiLab introduisent une nouvelle approche de l’automatisation, où l’humain et la technologie collaborent pour des performances optimales.

Pour en savoir plus sur MELSOFT MaiLab, visitez le site officiel : https://emea.mitsubishielectric.com

Jumeau numérique dédié à la sécurité des machines : une avancée technologique signée Schmersal

Jumeau numérique dédié à la sécurité des machines : une avancée technologique signée Schmersal

Lors du salon SPS – Smart Production Solutions – qui s’est tenu à Nuremberg, Schmersal a dévoilé pour la première fois un modèle 4D révolutionnaire de ses composants de sécurité. Ce modèle, véritable jumeau numérique, représente notamment le dispositif d’interverrouillage AZM40 et le système de poignée de porte DHS. Mais qu’est-ce qui différencie ce modèle des autres ? En plus de la représentation 3D classique, ce jumeau numérique simule toutes les propriétés et fonctionnalités des dispositifs physiques dans une quatrième dimension (4D). Par exemple, si une porte de protection est déverrouillée avec un bouton-poussoir réel, les LED du jumeau numérique réagiront comme celles de la machine physique.

Schmersal se positionne ainsi parmi les pionniers en développant un jumeau numérique spécialement conçu pour les composants de sécurité industrielle. Mais ce modèle ne se limite pas à la simple simulation des composants individuels. Il permet également de simuler des séquences complètes de processus ou de commandes grâce à la représentation virtuelle des flux de signaux. L’un des avantages majeurs est la possibilité d’effectuer une mise en service virtuelle des machines avant même que les composants mécaniques réels ne soient assemblés, réduisant ainsi les coûts et les délais de développement. À terme, ce modèle pourrait aussi offrir des capacités de maintenance prédictive, grâce à la surveillance continue des composants.

Selon Volker Heinzer, responsable produit stratégique chez Schmersal, l’entreprise prévoit de rendre ce modèle Safety 4D disponible en tant que service pour ses clients, potentiellement via une boutique en ligne appelée « TwinStore ». Cette plateforme permettrait aux fournisseurs de composants de proposer leurs jumeaux numériques, facilitant ainsi l’intégration de cette technologie dans l’industrie.

Le modèle Safety 4D repose sur le logiciel de simulation ISG-virtuos, développé par ISG Industrielle Steuerungstechnik GmbH. Grâce à un PC industriel compact et ultra-performant, la simulation physique en temps réel est possible sans perte de données. Cet outil permet de simuler l’ensemble d’une machine du point de vue de la commande, même dans des espaces restreints, puisqu’il peut être installé directement dans une armoire électrique.

L’Intelligence Artificielle fait son entrée dans la production

L’Intelligence Artificielle fait son entrée dans la production

Comment l’IA fonctionne-t-elle dans la production industrielle ? Près de 120 experts ont échangé leurs points de vue à ce sujet lors du congrès Smart Factory organisé par le magazine spécial « Automobile Industry » de Geman.

« L’intelligence artificielle est comme un adolescent. On ne sait jamais ce qui va se passer et s’il faut s’inquiéter. »

Gerhard Keller, responsable du secteur automobile et de l’industrie en Allemagne chez Google Cloud

Visites exclusives : usine de recherche et pratiques de fabrication

La « partie théorique » dans l’amphithéâtre a été complétée par deux rendez-vous exclusifs sur place qui ont conduit les participants à la conférence à l’usine de recherche de Karlsruhe pour la production intégrée à l’IA et à l’usine de camions Daimler à Wörth. Manuel Bögel, directeur de l’usine, a rendu les choses passionnantes : « Notre production de camions est en pleine transformation. Les nouveaux modèles de camions électriques sont intégrés progressivement à la production existante.

Cette année marque le lancement de l’E-Actros 600, le premier camion longue distance électrique à batterie de Daimler Truck, dont l’autonomie peut atteindre 600 kilomètres (environ 373 miles). Dans la plus grande usine de camions d’Europe, qui emploie environ 10 000 personnes et produit 470 camions par jour, l’intelligence artificielle joue un rôle de plus en plus important dans l’assurance qualité et le contrôle de la production.

Les experts s’accordent à dire que l’intelligence artificielle « adolescente » deviendra très bientôt adulte, malgré son immaturité actuelle. La seule question est de savoir à quelle vitesse cela se produira. « Nous n’avons aucune idée du rythme de développement futur, mais cela se produira très, très rapidement », est convaincu Bernd Mangler, SVP Automotive, Battery, Projects chez Siemens AG.

« La démocratisation des données » pour des solutions plus rapides

Sebastian Jonas, responsable des nouveaux concepts de production chez Schaeffler, a présenté un processus d’assemblage automatisé soutenu par l’IA pour des composants complexes de boîtes de vitesses, qui a été mis en œuvre pour la première fois dans une usine chinoise de Schaeffler.

Il met en garde contre un enthousiasme aveugle : Selon M. Jonas, la « démocratisation des données » est également importante. Le directeur de Siemens, M. Mangler, l’a exprimé de manière plus radicale : « Quiconque a besoin de 20 signatures pour un accord peut oublier la numérisation ».

Sans créativité humaine, il n’y a pas d’intelligence artificielle

Olaf Sauer a appelé les participants à ne pas négliger l’être humain dans l’euphorie de l’IA. « La créativité humaine est indispensable au développement de l’IA », a déclaré le directeur adjoint de l’institut Fraunhofer IOSB, responsable de l’automatisation et de la numérisation. Ou comme on peut le lire dans une brochure de l’IOSB : « L’intelligence artificielle fera partie de tous les systèmes informatiques liés à la production. Mais ce seront toujours des personnes qui évalueront et prendront des décisions. »

L’IOSB exploite l’usine de recherche de Karlsruhe en collaboration avec le Fraunhofer ICT et l’Institut Wbk pour la technologie de production de l’Institut de technologie de Karlsruhe (KIT). Sur 5 000 mètres carrés d’espace de production, les scientifiques, avec des partenaires de l’industrie et de la recherche, se concentrent sur des projets d’IA liés à l’industrie. Les principaux sujets sont l’industrie 4.0, la construction légère et la mobilité électrique/les systèmes de batteries.

Rendre les processus rapidement utilisables en production

Les participants à la conférence ont discuté sur place avec des chefs de projet, entre autres, d’un concept d’assemblage modulaire pour les cellules de batteries, du démontage de démarreurs électriques par des robots collaboratifs, de l’utilisation de jumeaux numériques, de l’échange de données dans des salles de données telles que Catena-X et d’une plateforme de fournisseurs « intelligente » pour le « Manufacturing-as-a-Service ».

Une grande expertise parmi les exposants

Nicholas Baldwin de Rockwell Automation Solutions (plateforme de fabrication intelligente basée sur le cloud), Harald König de Shyftplan (planification des équipes en temps réel assistée par l’IA) et Arnd Grootz de PSI FLS Fuzzy Logistics & Neuro Systems, ainsi que Gianluca Di Buo du partenaire de coopération Idea pour le matériel (y compris les robots mobiles et intelligents pour la maintenance prédictive), ont présenté des cas d’utilisation qui sont déjà utilisés par les clients.

Les personnes intéressées ont trouvé des contacts pour des questions individuelles dans une exposition accompagnant le congrès. Outre les entreprises mentionnées, les exposants comprenaient Advantech, fournisseur de technologies IoT industrielles, les fournisseurs de logiciels Aunovis et Oniq, la start-up sud-coréenne Aimmo, experte en services de données basés sur l’apprentissage profond, et les systèmes d’analyse d’images Vision Tools.

La qualité des produits et des processus en ligne de mire

Le directeur de Rockwell, M. Baldwin, a également fait état d’une enquête menée auprès de 1 500 clients, selon laquelle 83 % des entreprises interrogées souhaitent mettre en œuvre des projets d’IA générative en 2024. 45 % des personnes interrogées prévoient d’utiliser des outils d’IA pour l’assurance qualité et 39 % pour l’optimisation des processus. La cybersécurité (40 %), la gestion des ressources (34 %) et la robotique (33 %) ont également été mentionnées comme autres domaines d’application privilégiés.

« Live Show » : L’IA dans la fabrication des camions Daimler

Pour conclure la journée Smart Factory 2024, les participants ont eu l’occasion de découvrir l’application pratique des outils d’IA dans le contrôle de la qualité sur le site de production de Daimler Truck à Wörth. Les outils d’IA y sont utilisés non seulement pour localiser les véhicules en production à un mètre près et coordonner les étapes du processus en conséquence, mais aussi pour contrôler, par exemple, les différents raccords vissés spécifiques au modèle grâce à des processus d’assurance qualité soutenus par l’IA.

Une tâche plutôt complexe en raison de la grande variété de modèles dans la fabrication des camions : Wörth produit à lui seul 460 variantes de carrosserie. 31 variantes de boîtes de vitesses, 40 types d’essieux arrière et 54 types d’essieux avant, et plus d’un million de faisceaux électriques différents sont installés.

Article original disponible sur https://all-about-industries.com/

Décrouvrez la nouvelle version du logiciel de traitement d’image no-code MVTec MERLIC

Décrouvrez la nouvelle version du logiciel de traitement d’image no-code MVTec MERLIC

MVTec, l’un des principaux fabricants mondiaux de logiciels de vision industrielle, lancera la version 5.5 de MVTec MERLIC le 20 mars 2024. MERLIC est un logiciel sans code qui s’adresse particulièrement aux utilisateurs qui n’ont que peu ou pas d’expérience dans le domaine de la vision industrielle. La vision industrielle est une technologie d’automatisation qui peut être utilisée de diverses manières, par exemple pour garantir l’assurance qualité, augmenter l’efficacité et réduire la charge de travail des salariés.

Pour améliorer l’intégration des processus, un nouveau plugin de socket TCP a été développé pour permettre une communication textuelle avec des appareils qui ne prennent pas en charge des protocoles complexes. Les nouvelles technologies comprennent la méthode Deep Counting basée sur l’apprentissage profond pour le comptage de grandes quantités d’objets, ainsi qu’un nouvel outil pour la reconnaissance des couleurs. Une autre nouvelle fonctionnalité, « High Dynamic Range (HDR) imaging », permet de faire face à des conditions d’éclairage difficiles et d’éliminer efficacement les zones surexposées ou sous-exposées dans les images.

« Les entreprises étudient de près les possibilités d’automatisation. L’intégration de la vision industrielle dans la production peut représenter un défi pour les entreprises. Pour aider les débutants en vision industrielle en particulier, nous avons développé le logiciel de vision industrielle sans code MERLIC. Avec MERLIC, il est possible de créer des applications complètes de vision industrielle par simple « glisser-déposer ».

Ulf Schulmeyer, chef de produit MERLIC chez MVTec.

Merlic : Count with Deep Learning

Le nouvel outil « Count with Deep Learning » permet aux utilisateurs de compter de nombreux objets de manière efficace et précise.

« Avec la nouvelle version, nous poursuivons la voie que nous avons tracée avec MERLIC : une intégration facile des processus combinée à des méthodes de vision industrielle puissantes. C’est pourquoi MERLIC 5.5 comprend à nouveau une interface qui simplifie encore l’intégration des processus de MERLIC. Il y aura également de nouvelles fonctionnalités passionnantes.

Ulf Schulmeyer, chef de produit MERLIC chez MVTec.

Un nouveau plug-in de socket TCP

MERLIC 5.5 étend ses capacités de connectivité avec l’introduction d’un nouveau plug-in de socket TCP. Ce plug-in permet d’utiliser un protocole textuel hautement personnalisable. Les utilisateurs peuvent désormais configurer des messages ASCII simples et spécifiques qui ne contiennent que les informations pertinentes pour leur application. Ces messages peuvent être facilement traités par des appareils qui ne prennent pas en charge des protocoles complexes tels que OPC UA. Le plug-in peut être facilement configuré dans l’environnement RTE (Runtime Environment) de MERLIC, ce qui constitue une solution simple pour intégrer MERLIC dans les systèmes existants.

Count with Deep Learning

Le nouvel outil conceptuel « Count with Deep Learning » de MERLIC 5.5 permet aux utilisateurs de compter de nombreux objets de manière efficace et précise tout en détectant leur position. Contrairement à d’autres méthodes basées sur l’apprentissage profond, cette fonction peut être rapidement entraînée avec un étiquetage minimal directement dans MERLIC. Cela simplifie le processus et augmente considérablement l’efficacité du comptage d’objets, en particulier dans les scénarios impliquant des matériaux déformables ou des marchandises en vrac. Simultanément, cela réduit également le temps et le coût généralement associés à la formation des modèles d’apprentissage profond.

Nouvel outil de reconnaissance des couleurs

MERLIC 5.5 introduit une nouvelle façon de traiter les couleurs. Après une formation, le nouvel outil conceptuel « Recognize Color » permet une détection fiable des couleurs dans diverses conditions. Les utilisateurs peuvent même affiner la précision de la détection en fixant des seuils spécifiques pour les écarts acceptables.

Idéal pour toute une série de cas d’utilisation, tels que la vérification ou la sélection de pièces, la vérification de connexions de câbles correctes ou la confirmation de l’installation de la bonne résistance, cet outil conceptuel permet de rationaliser et d’améliorer les processus de contrôle de la qualité.

Imagerie à grande gamme dynamique (HDR)

MERLIC 5.5 comprend de nouvelles méthodes d’imagerie HDR (High Dynamic Range). Cette fonction étend l’outil « Fusionner les images » existant, désormais doté d’une fonctionnalité HDR, pour combiner des images d’expositions différentes en une seule image HDR. Cette amélioration permet de traiter les différences de contraste élevées et d’éliminer efficacement les zones surexposées ou sous-exposées des images. Ainsi, même les conditions d’éclairage les plus difficiles peuvent être représentées et analysées avec précision. Cela ouvre de nouvelles possibilités pour une variété d’applications, y compris la mesure des surfaces réfléchissantes et l’augmentation de la plage dynamique d’une image.

Présentation

Passionné par l'évolution de l’industrie, j’ai fondé ce site en 2017. Sa vocation ? Vous présenter les dernières nouveautés dans le domaine de la transformation digitale au sein de l'Industrie 4.0.

RIVIERE Vincent - Fondateur

L'Industrie 4.0, un média VR AUTOMATION

riviere-vincent.fr

Suivez-nous !

Abonnez-vous à notre newsletter

Tapez "industrie" dans cette case