Industrie 4.0

Airbus et ArianeGroup rejoignent le « Club Partenaires » industriels de l’Académie franco-allemande pour l’industrie du futur

Airbus et ArianeGroup rejoignent le « Club Partenaires » industriels de l’Académie franco-allemande pour l’industrie du futur

L’Académie franco-allemande pour l’industrie du futur, co-fondée par l’Institut Mines-Télécom (IMT) et la TechnischeUniversitätMünchen (TUM), propose un modèle novateur de coopération dédié à l’innovation et à la transformation digitale. Avec le soutien de la Fondation Mines-Télécom, elle a créé le « Club Partenaires » industriels où les grands acteurs accèdent à un écosystème de recherche d’excellence. Les secteurs de l’aérospatial et de l’aéronautique relèvent aujourd’hui des défis technologiques de taille en matière d’intelligence artificielle, de cyber-sécurité, de fabrication avancée ou de propulsion hydrogène. Dans ce contexte, les deux leaders européens, Airbus et ArianeGroup sont les premiers à signer leur adhésion au Club Partenaires de l’Académie afin d’enrichir leurs réflexions sur leurs stratégies prospectives.

Avec l’expérience et le savoir-faire de la Fondation Mines-Télécom, le club des partenaires a été structuré pour faciliter les échanges et transferts de technologies entre le monde académique et industriel. Pour l’Académie, l’entrée d’Airbus et d’ArianeGroup dans ce Club permet de construire de futurs projets de recherche et de formation tout en développant un vivier d’experts français et allemands au service de l’industrie 4.0. A ce jour, l’Académie rassemble 150 enseignants-chercheurs des deux côtés du Rhin.

« Je me réjouis de l’accueil dans ce club de partenaires mis en place par l’Académie franco-allemande pour l’industrie du futur, de deux grandes entreprises européennes de l’aéronautique et du spatial. ArianeGroup et Airbus vont bénéficier d’un écosystème d’excellence en matière de recherche et d’innovation. »

Bruno Le Maire, Ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance

La transformation digitale au cœur des stratégies

Les équipes des industriels qui sont déjà totalement engagés dans cette transformation digitale, collaboreront avec des académiques de l’IMT et de la TUM spécialistes de ce domaine. Ils auront ainsi accès en exclusivité aux travaux de l’Académie et à ses événements pour rencontrer les parties prenantes qui transforment et façonnent l’industrie du futur ; ils pourront également participer à des « Innovation Expeditions ».

« Redévelopper les entreprises françaises et européennes qui ont été frappées par la pandémie du Covid-19 demeure un défi global qui dépasse nos frontières. C’est pourquoi, je reste convaincue qu’il faut renforcer la coopération entre la France et l’Allemagne afin de mettre en place des actions concrètes et nouvelles. Cette signature avec deux groupes phares de l’industrie représente un signal fort en ce sens. »

Odile Gauthier, Directrice générale de l’Institut Mines-Télécom

Des secteurs critiques pour la souveraineté européenne

De par leurs domaines d’activités, Airbus et ArianeGroup améliorent en continu les standards de qualité ainsi que de sécurité, tout en intégrant les dernières innovations et en anticipant les prochaines grandes ruptures technologiques. L’Académie dont la vocation est de partager les meilleures nouvelles pratiques, diffusera ses connaissances auprès des industriels de l’Académie pour qu’ils puissent les intégrer et les adapter sur le terrain afin de gagner en compétitivité, résilience et durabilité, des problématiques devenues aujourd’hui capitales.

En outre, la coopération entre les deux grands groupes européens et l’Académie vient renforcer les liens entre la France et l’Allemagne en travaillant de concert sur les enjeux de souveraineté industrielle et numérique. En effet, l’axe franco-allemand est un des moteurs desdispositifs de soutien et d’accompagnement de l’innovation pour accroître le savoir-faire technologique européen.

Webinaire : Comment l’industrie 4.0 révolutionne le secteur cosmétique ?

Webinaire : Comment l’industrie 4.0 révolutionne le secteur cosmétique ?

Zozio vous donne rendez-vous le jeudi 10 juin prochain à 11h00 pour un webinar dédié à la transformation digitale de l’industrie cosmétique avec les témoignages d’experts de L’Oréal, IBM et Zozio.

L’industrie du futur est un enjeu clé pour les industriels aujourd’hui.

Zozio vous dévoile les étapes clés pour réussir sa transformation digitale dans le secteur cosmétique. Découvrez comment L’Oréal et IBM saisissent les opportunités pour améliorer leur performance.

Inscrivez-vous pour découvrir :

  • Quelle est la vision Industrie 4.0 de L’Oréal et d’IBM ?
  • Quelles solutions mettre en place pour augmenter sa performance ?
  • Comment déployer sa stratégie Industrie 4.0 ?
  • Quelle solution choisir pour assurer la traçabilité et l’optimisation des flux sur site ?

Les intervenants :

  • Christophe Laurence, Internet of Things & Industry 4.0 Business Development Executive chez IBM
  • Olivier Chapel, Direction Générale des Opérations Industrial Excellence chez L’Oréal
  • Bastien Triclot, co-fondateur et CEO de la start-up Zozio

Ce webinaire est gratuit et ouvert à tous. Pour participer, vous devez vous inscrire à cette adresse.

L’Impression 3D de Protolabs inspire confiance aux industriels

L’Impression 3D de Protolabs inspire confiance aux industriels

Protolabs, leader mondial de la fabrication numérique, dont les installations s’étendent dela région EMEA, aux États-Unis et au Japon, a travaillé en étroite collaboration avec DNV pour obtenir la certification  » Qualification du fabricant ». Protolabs est l’un des premiers fabricants de la région EMEA à obtenir cette certification, et le premier fabricant certifié à utiliser la technologie de fusion sur lit de poudre dans son processus additif – idéal pour la haute résolution et la précision géométrique.

« La confiance est, à juste titre, une nécessité pour l’industrie pétrolière et gazière, ainsi que pour le secteur énergétique au sens large. Aujourd’hui, nous pouvons être rassurés grâce aux travaux que nous avons menés sous l’œil attentif de DNV. Les audits de nos installations et de nos processus de fabrication prouvent que nous nous conformons aux exigences générales de l’industrie pétrolière et gazière, de sorte que nous pouvons désormais allerde l’avant en soutenant encore davantage le secteur dans son ensemble. »

Daniel Cohn, directeur général et responsable des centres de production d’impression 3D pour Protolabs EMEA

L’avenir de la fabrication additive face au moulage

La certification s’applique à la technologie de frittage laser direct de métal (DMLS) de Protolabs, en particulier pour le superalliage Inconel 718 – un nickel-chrome à haute résistance à la corrosion. La combinaison des propriétés exceptionnelles de ce matériau et de l’expertise de Protolabs en matière de DMLS permet à l’entreprise de produire rapidement des géométries complexes pour des pièces exposées aux environnements difficiles typiques du secteur.

L’obtention de la certification est un processus d’évaluation technique d’un certain nombre de sondes au sein de la machine combiné avec le matériel, individuellement ou avec le système dans son ensemble. La certification à elle seule fournit une preuve fiable que les sondes répondent au standard de qualification élevé défini par DNV.

« Je suis très heureux que notre Centre d’excellence mondial en technologie de fabrication additive (AM) ait pu aider Protolabs à atteindre cette étape importante, en tant que premier fabricant certifié utilisant la technologie de fusion sur lit de poudre dans son processus additif. Nous sommes impatients de poursuivre notre relation avec Protolabs qui donne l’assurance et la confiance des produits AM à mesure que leur utilisation se développe dans les industries du pétrole, du gaz et de l’énergie. »

Dr Sastry Kandukuri, expert matériaux au sein de l’unité commerciale des systèmes énergétiques de DNV

La certification du procédé DMLS de Protolabs et de son superalliage Inconel 718 apporte un nouveau niveau d’assurance, mais l’entreprise offre une variété de matières et de technologies qui sont également pertinentes pour les industries pétrolières et gazières, maritimes et offshore, ainsi que pour le secteur énergétique au sens large.

M. Cohn prévoit que les premières réactions à la certification seront d’aller vers la fabrication additive de pièces de rechange pour remplacer les moules d’origine, lorsqu’ils n’existeront plus. Cela permettra d’étudier les possibilités de conception afin d’accroître l’efficacité et de créer des modèles plus robustes pour des pièces telles que les pompes, les vannes, les composants de turbines ou les équipements de détection. De plus, la certification assurera aux clients qu’ils peuvent utiliser la voie de la fabrication additive pour se diriger vers une production de plus en plus décarbonée.

« La fabrication additive peut se développer encore plus rapidement si l’on a confiance dans la technologie, les matériaux, les processus et dans les entreprises de fabrication elles-mêmes »

Daniel Cohn, directeur général et responsable des centres de production d’impression 3D pour Protolabs EMEA

Un nouveau site de production, plus 50% de capacité d’impression

Protolabs, dans le cadre de sa volonté de proposer des pièces imprimées en 3D encore plus rapidement grâce à un portefeuille croissant de matièreset de services, construit un nouveau site de production de 5 000 mètres carrés à Putzbrunn, en Allemagne, qui donnera aux clients un accès encore plus large aux processus de fabrication automatisés et aux systèmes de qualité de l’entreprise. L’investissement de 13,5 millions d’euros permettra d’augmenter de 50 % la capacité d’impression 3D de l’entreprise afin de répondre à la demande croissante pour cette technologie.

« Nous sommes le fabricant numérique le plus rapide au monde, ce qui nous permet de fournir les garanties nécessaires, mais l’un de nos principaux objectifs est de produire des pièces encore plus rapidement et d’offrir une enveloppe de services encore plus large à nos clients. Lorsqu’une conception finie entre sur notre plateforme de commande en ligne, elle est soumise à une vérification de faisabilité par notre équipe de conception experte, puis elle est part en production. La certification DNV nous donnera la confiance nécessaire et la nouvelle installation nous donnera la capacité indispensable pour livrer encore plus de projets en un jour seulement. »

Daniel Cohn, directeur général et responsable des centres de production d’impression 3D pour Protolabs EMEA

Flyinstinct: l’Intelligence Artificielle au service de l’inspection côté piste

Flyinstinct: l’Intelligence Artificielle au service de l’inspection côté piste

Récemment sélectionnée par le magazine Challenges comme l’une des 100 startups dans lesquelles investir en 2021, Flyinstinct conçoit et propose des solutions innovantes pour digitaliser les inspections visuelles des aéroports. Les systèmes proposés utilisent l’intelligence artificielle pour assister le personnel aéroportuaire, notamment en charge de la sécurité côté piste.

Le premier produit de Flyinstinct permet d’améliorer la détection des FOD (Foreign Object Debris). Ces FOD se trouvent souvent dans un endroit inapproprié (piste, APRON…) et peuvent endommager les équipements et/ou blesser le personnel. Parmi tous les types d’incidents liés à la sécurité des pistes et des taxiways, les FOD représentent le coût le plus élevé, estimé à plus de 13 milliards de dollars à l’échelle mondiale pour l’ensemble de l’industrie aéronautique.

Afin de prévenir les risques liés aux FOD, les autorités de l’aviation civile réglementent les inspections des pistes et taxiways en aéroport. L’annexe 14 de l’OACI impose de les inspecter au moins une à deux fois par jour, selon la taille de l’aéroport. Dans la majorité des aéroports du monde, cette inspection est effectuée à l’oeil nu par des inspecteurs, spécifiquement formés à ce dessein.

C’est pour accroître encore la sécurité coté piste et la porter au plus haut niveau d’exigence, que Flyinstinct a développé le FODlocator : un assistant intelligent mobile qui accompagne l’inspecteur dans la détection des FOD, et fonctionnant sous n’importe quelles conditions météorologiques.

Le FODlocator est composé d’un ensemble de caméras intelligentes, reliées à un logiciel breveté (propriétaire à Flyinstint) installé sur le toit du véhicule d’inspection. Il assiste en temps réel les inspecteurs, leur indiquant la présence éventuelle de FOD à proximité. Les données d’inspection récoltées sont, par la suite, stockées dans un cloud sécurisé, permettant aux aéroports d’avoir accès à toutes les données nécessaires pour les audits réglementaires, réclamations d’assurance ou encore pour assurer la maintenance prédictive des infrastructures.

Le FODlocator est par ailleurs conforme à la réglementation et les processus d’inspection en vigueur, et il s’adapte à tous les véhicules et engins de pistes existant en milieu aéroportuaire. La solution a déjà séduit plusieurs aéroports puisqu’elle est actuellement en déploiement à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry et en expérimentation à l’aéroport Paris-Orly.

Flyinstinct ne compte pas s’arrêter là et développe d’autres solutions avec sa technologie basée sur un algorithme d’intelligence artificielle. Sont actuellement en cours de développement le FODspot, une solution fixe de détection FOD sur la piste et l’aire de trafic et l’OBSTAmonitor, un système intelligent qui vérifie l’absence d’obstacles dans l’approche. Ces projets en cours sont menés en collaboration avec deux grands groupes aéroportuaires français.

Inpeco améliore son intralogistique grâce au robot mobile autonome MiR200 Hook

Inpeco améliore son intralogistique grâce au robot mobile autonome MiR200 Hook

Inpeco, fondée en 1990 en Italie, est une entreprise multinationale spécialisée dans la production de systèmes d’automatisation pour les laboratoires et les hôpitaux avec pour objectifs de réduire les erreurs dans les essais cliniques toute en assurant une traçabilité complète des échantillons et une meilleure qualité des résultats.

En vue d’automatiser son site de Val della Torre, dans la banlieue de Turin, tant l’approvisionnement en matières premières que le transport des produits finis vers le département de conditionnement, l’entreprise a décidé d’introduire un MiR200 Hook pour la traction de chariots dans la zone de production de l’usine.

« En tant que fabricant de solutions d’automatisation, la mise en œuvre de technologies avancées et la numérisation des processus dans notre usine est un facteur particulièrement pertinent. Ça l’est d’autant plus dans la perspective de l’industrie 4.0, qui vise à améliorer en permanence la qualité et la fiabilité de nos solutions ainsi que l’efficacité de nos processus internes »

Stefano Tolomeo, Responsable de la Production chez Inpeco

Libérer le personnel des tâches de transport répétitives

La tâche à revoir était celle transport de matières premières et de produits finis. « Le transport de matériaux nécessite un engagement à plein temps du personnel affecté à cette activité. Nous voulions libérer les opérateurs des tâches de transport, qui sont répétitives, dangereuses et démotivantes, pour les affecter à des activités à plus forte valeur ajoutée », explique Stefano Tolomeo.

Inpeco améliore son intralogistique grâce au robot mobile autonome MiR200 Hook

« L’automatisation de certains processus à faible valeur ajoutée visait à réorienter les ressources vers des opérations plus importantes et indispensables pour l’entreprise. Grâce au robot MiR, qui nous a permis d’automatiser le transport des matières premières et des produits finis, nous avons pu nous concentrer sur les activités les plus productives pour nous, en veillant toujours à la sécurité des travailleurs, à la qualité du produit et à l’environnement de production dynamique dans lequel Inpeco a l’habitude de travailler »

Stefano Tolomeo, Responsable de la Production chez Inpeco

Un choix décidé par les qualités intrinsèques du MiR200 Hook

Le choix de Inpeco, accompagné par Klain Robotics, distributeur de Mobile Industrial Robots en Italie, s’est porté sur le MiR200 Hook, de par ses dimensions et sa capacité de charge qui étaient parfaites pour répondre aux besoins de transport de l’entreprise. Sa facilité d’utilisation a également été un facteur déterminant. Grâce à une interface utilisateur simple et intuitive, même les opérateurs les moins expérimentés peuvent surveiller et gérer les missions du robot MiR. Grâce à celui-ci, ils peuvent désormais se consacrer davantage à des tâches à plus forte valeur ajoutée, telles que la préparation de commandes ou le chargement de matériaux dans des zones de stockage automatisées.

« Une autre raison du choix du robot mobile autonome (AMR) de MiR est sa capacité à se déplacer dans les couloirs où il partage l’espace avec le personnel de l’usine ou d’autres moyens de manutention de marchandises. Il peut détecter les obstacles, même lorsqu’ils sont en mouvement et ajuste sa trajectoire en conséquence afin d’atteindre son point d’arrivée. Le robot MiR nous a permis d’économiser l’espace qu’une solution de transport traditionnelle exigerait »

Stefano Tolomeo, Responsable de la Production chez Inpeco

Une mise en œuvre rapide pour une efficacité opérationnelle Le système est bien rodé. Les ordres de production sont préparés à partir du stock en prélevant le matériel et en chargeant des chariots. Une fois le travail terminé, le chariot est mis à disposition pour être transporté par le robot MiR.

Quand un opérateur a besoin d’un chariot, il active le logiciel d’appel en scannant un QR Code attribué à sa zone de travail pour demander la livraison d’un chariot. Celui-ci peut transporter un produit fini ou jusqu’à 500 kg de matériaux.. De cette façon, la destination de la mission du robot est enregistrée comme étant l’emplacement de l’opérateur qui a passé la commande.

Inpeco améliore son intralogistique grâce au robot mobile autonome MiR200 Hook

Le logiciel récupère également automatiquement l’ordre de production dans le système de gestion, ce qui rend toutes ces informations disponibles à l’écran et permet aux responsables de l’entrepôt de savoir quels chariots sont collectés par le robot mobile. Les informations telles que la taille de l’article à déplacer et sa position initiale sur la carte sont aussi automatiquement envoyées au logiciel du robot. Actuellement, dans la zone de production d’Inpeco, 16 objets différents et de longueur variable – de 1 m à 2,5 m – sont déplacés avec le MiR200 Hook.

Du robot au collègue

Le robot, rebaptisé Robin après un sondage auprès des employés, contribue également à la sécurité de la zone de production. À chaque fois qu’il entre dans les couloirs, qu’il tourne et accroche automatiquement un chariot, le robot utilise des lumières clignotantes et des sons pour alerter les opérateurs de son arrivée. Grâce à des caméras 3D et des capteurs de précision, le robot détecte aisément les obstacles, qu’il s’agisse d’une personne ou d’un chariot élévateur. Il s’arrête et évalue si un autre itinéraire est possible. Cela garantit une sécurité maximale tout au long du trajet, en éliminant le risque d’accident.

« Lorsque le robot MiR a été intégré à l’usine, les opérateurs étaient curieux et un peu sceptiques. Mais dès que le robot est entré en activité, tout le monde est devenu enthousiaste. Sa facilité d’utilisation et les avantages qu’il offrait en termes de gain de temps et donc d’efficacité, ainsi que le fait qu’ils pouvaient déléguer au robot diverses tâches répétitives et de faible valeur, les ont convaincus. Aujourd’hui, les travailleurs d’Inpeco interagissent et traitent le robot MiR comme un collègue »

Stefano Tolomeo, Responsable de la Production chez Inpeco

L’avenir de la logistique automatisée « A ce jour, notre robot MiR200 Hook est utilisé dans une zone spécifique de nos départements de production mais nous envisageons de l’utiliser dans une autre zone de production », poursuit M. Tolomeo.

Inpeco prévoit que la mise en œuvre sera très facile et rapide puisque le système héritera de toutes les logiques de configuration déjà mises en œuvre précédemment. « Nous estimons un retour sur investissement de moins de 2 ans », conclut-il.

Prochainement, l’entreprise prévoit également d’intégrer un nouveau robot avec un autre type d’interface qui permet, outre le remorquage de matériaux, la manipulation de boîtes individuelles (600X400mm ou 400x300mm) de l’entrepôt à l’opérateur et vice versa.

Présentation

Passionné par l'évolution de l’industrie, j’ai fondé ce site en 2017. Sa vocation ? Vous présenter les dernières nouveautés dans le domaine de la transformation digitale au sein de l'Industrie 4.0.

RIVIERE Vincent - Fondateur

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